Agenda du weekend vendredi 15 février

Décidément, Bordeaux ne connaîtra jamais la neige. Puisque le printemps arrive plus tôt que prévu, je chausse mes plus beaux godillots et sors arpenter les rues ! 

:::VENDREDI ::: 

Comme j’aime bien les groupes de musique qui définissent leur genre musical avec un “synth- quelque chose” dedans, je roule (en vélo, toujours) jusqu’à la Voûte, aux Capucins, pour la release party de Carambolage, accompagné de Videodrome et Periods, organisée par Musique d’Apéritif. A mon avis, ça va bouger encore plus qu’un bus sur les routes à bosses du centre-ville.  

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:::SAMEDI::: 

Puisque TBM nous permet de nous mouvoir hors du centre-ville bordelais, je vais faire un tour au musée de la Création Franche à Bègles. Le LAB du musée propose l’exposition “Formats utiles” depuis la fin du mois de décembre dernier. Le but ? Montrer qu’on peut créer sur tout et comme on l’entend, de la plus petite œuvre à la plus gargantuesque.  

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Je suis raisonnable, le weekend, je ne sors pas tous les soirs. Pour une soirée plus tranquille, ou disons moins mouvementée (au sens littéral), je me dirige vers le TNBA pour assister à “La femme comme champ de bataille”. La pièce sous forme de dialogue raconte le destin croisé de deux femmes dans le contexte de la guerre Bosniaque. L’une vient de l’Est, l’autre de l’Ouest. L’auteur roumain Matéi Visniec a représenté dans ce texte la place de la femme dans un conflit, et ce qu’elle y subit. Un texte fort, peut-être dur, mais je me laisse tenter.  

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:::DIMANCHE::: 

J’ai besoin de renouveler le contenu de mon placard, je commence à ne plus rentrer dans mon t-shirt taille 14 ans. Heureusement, la Fabrique Pola organise un Super Vide-dressing (ce n’est pas moi qui le dit) ! Petit plus, mais pas des moindres, le goûter est fourni.  

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L’air doux et frais ne me donne pas envie de rentrer, je pars faire un tour au musée. Lequel, me direz-vous ? A l’Institut Bernard Magrez. Deux expositions retiennent mon attention, celle du photographe Thomas Sappe, et celles de différentes street artistes féminines. De la couleur au noir et blanc, il y en a pour tous les goûts. Pourquoi ne pas ensuite aller faire un tour au jardin public? C’est à deux pas après tout. J’observerai de loin le Muséum d’Histoire Naturelle dont tout bon bordelais attend impatiemment la réouverture.   

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Une fois le weekend terminé, il ne me reste plus qu’à compter les jours jusqu’aux vacances.